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Centre Pluridisciplinaire Textes et Cultures (CPTC)

Séminaire linguistique 2023

Mardi 19 septembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Séance inaugurale du séminaire (pas de conférence)

Samir Bajrić, université de Bourgogne

Mardi 26 septembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Je déclare ne pas avoir de conflits d'intérêts

Jean-Philippe Pierron, université de Bourgogne

Il est devenu courant que l'expression " je déclare ne pas avoir de conflits d'intérêts" ouvre nombre de prises de paroles lors de colloques, de conseils scientifiques ou de symposiums. L’apparition d'une telle expression peut être questionnée. Elle exprime a priori le souci de préserver ce que l'on nomme" l’intégrité scientifique. Mais elle le fait au nom d'une conception de l'éthique qui peut être questionnée. L'objet de cette intervention visera à se demander comment de telles formules arrivent dans le champ sémantique d'une société et laquelle. Elle visera ensuite à questionner le fait de savoir si l'on peut vraiment ne pas avoir de conflits d'intérêts ? Et enfin si l'expression d'un conflit d'intérêts est problématique et si oui pourquoi ?

 

Mardi 3 octobre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

L'expression du vague en discours juridique et le rôle de l'adjectif

Arthur Joyeux, université de Bourgogne

La mondialisation du droit et la création d’ordres juridiques transnationaux modifient la manière dont les règles et normes juridiques sont formulées, interprétées et appliquées. Deux phénomènes importants relèvent de la « normativité graduelle » (Flückiger, 2007) et de la généralisation du « flou » (Delmas-Marty, 1986) ou du « vague » en droit (Endicott, 2000).

Le standard juridique est l’un des instruments privilégiés de l’expression du vague juridique. Décrit comme une « notion élastique » (personne raisonnable, avantage manifestement excessif, …), délibérément incomplète, non codée par le législateur et dont la signification varie au gré des circonstances, sa face formelle mérite l’attention des linguistes : il donne généralement lieu à des collocations de type N + Adj.

La communication se propose d’interroger le rôle de l’adjectif dans l’expression de la norme vague. Plus généralement : quelle est la contribution de l’adjectif à la formulation de la règle de droit ? Quelle typologie pragmatique de l’adjectif, catégorie intrinsèquement instable (Orlandi, 2020), peut-on dresser à partir de son emploi par le discours juridique ?

 

Mardi 10 octobre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Monisme ou dualisme, schisme constitutif de la didactique du chinois

Joël Bellassen, INALCO

La didactique du chinois langue seconde est traversée depuis qu’elle s’est structurée en discipline par une fracture épistémologique, ombre portée de la relation singulière entre langue et écriture en chinois : cette discipline est-elle construite autour d’une unité minimale, le mot, comme dans les langues couramment enseignées, ou bien s’inscrit-elle en rupture en reposant sur deux unités didactiques, le caractère et le mot ? l’approche didactique se doit-elle moniste ou dualiste ? Doit-elle ne conférer à l’écriture chinoise un rôle de simple notation instrumentale de la langue ou bien doit-elle poser d’emblée une dissociation entre un savoir langagier et un savoir graphique, animé par une logique propre et devant faire l’objet d’une transposition didactique spécifique, en partie dissociée de la transmission de la langue ? Le présent article identifie une telle divergence comme un véritable schisme au sein de la didactique internationale du chinois langue seconde.

 

Mardi 17 octobre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Vouloir-dire de la langue vs indicibilité du trauma : analyse des verbatim d'un point de vue néoténique

Monica Paniz, CPTC, GReLiSC

Depuis quelques années, l’évolution des idées arrive à un tournant où des rencontres systématiques entre différentes disciplines se mettent en place afin de révolutionner et renouveler les modèles épistémologiques traditionnels. Les Sciences du Langage et les Sciences Psychologiques sont, dans ce contexte, pionnières de ce besoin d’évolution dans une optique pluridisciplinaire. Les recherches récentes en matière de manifestations linguistiques du syndrome de stress post-traumatique ont permis l’identification et la théorisation du Syndrome psycholinguistique post-traumatique, une véritable nouveauté séméiologique issue des apports de la linguistique à la psychiatrie. Cette nouvelle entité met en avant une caractéristique cardinale du trauma : son indicibilité. Or, les études récentes montrent que le discours de patients bilingues étant affectés par un trouble de stress post-traumatique n’a pas encore été pris en compte par les chercheurs, ni par les praticiens. Le bilinguisme est à l’heure actuelle une condition dans laquelle, pour des raisons différentes et plus ou moins complexes, de nombreux êtres locuteurs se retrouvent. Par conséquent, il est nécessaire que cet aspect soit pris en considération dans le cadre de l’analyse des verbatim[1] et, de manière plus générale, tout au long de la prise en charge clinique du patient. En effet, un locuteur bilingue ou plurilingue entretient des rapports cognitifs différents avec les langues qu’il parle, ce qui pourrait idéalement lui permettre de s’exprimer avec plus de lucidité et de recul dans une langue plutôt que dans une autre, voire de s’exprimer autrement. De plus, le vouloir-dire de la langue, défini comme étant l’ « ensemble d’éléments qui sont d’ordre mental et par lesquels la langue incite le locuteur à choisir tel type d’énonciation (le dire) et d’énoncé (le dit) plutôt que tel autre »[2], est susceptible d’affecter tout un ensemble d’expressions linguistiques qui pourraient ainsi être confondues avec les symptômes cardinaux du Syndrome psycholinguistique post-traumatique. Afin que le système de soins puisse évoluer et s’adapter à un public plus vaste, il est nécessaire que la linguistique (et plus précisément la néoténie linguistique) fournisse d’apports nouveaux à la psychopathologie, notamment en ce qui concerne les rapports cognitifs existants entre locuteurs et langues du monde.

De tous ces constats naît le questionnement fondateur de cette communication : que se passe-t-il lorsque l’individu n’est pas seulement confronté à l’indicibilité du trauma, mais aussi au vouloir-dire de la langue ?

Afin de pouvoir y répondre, nous tâcherons d’analyser d’un point de vue néoténique les récits des patients bilingues blessés psychiques. Dans ce contexte, nous viserons l’identification d’une frontière possible entre les processus linguistiques inhérents à l’indicibilité du traumatisme psychique et ceux respectant le vouloir-dire des langues parlées par les individus concernés. Les résultats de cette recherche seront susceptibles non seulement d’apporter une explication supplémentaire et nouvelle à certains symptômes du Syndrome psycholinguistique post-traumatique, mais aussi de montrer en quelle mesure les acquis théoriques de la néoténie linguistique peuvent être appliqués à des disciplines qui sortent du domaine des Sciences du Langage.

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[1] La dénomination « verbatim » désigne, dans le domaine des sciences psychologiques, l’enregistrement et l’éventuelle transcription à des fins analytiques des propos exprimés par le patient au cours de la séance de thérapie.

[2] Bajrić S., Linguistique, cognition et didactique. Principes et exercices de linguistique didactique, Paris, Presses de l’université Paris-Sorbonne, 2009, p. 315.

 

Mardi 24 octobre 2023, 15h 00 – 17h 00, salle des séminaires R 03 MSH

La théorie de la voix chez Gustave Guillaume : sémantisme du verbe et valeur(s) du pronom on

Manar El Kak, STIH, Sorbonne Université

Le commentaire sportif est presque aussi vieux que la littérature. Mais c'est à partir de la naissance du sport moderne au 19eme siècle, que le commentaire sportif a trouvé une place allant en s'amplifiant dans la presse. D'autre part, ce sous-genre journalistique a saisi, dès leur apparition, les innovations technologiques (photo, radio, internet...). Ma contribution tentera de montrer, à travers l'exemple du cyclisme (et marginalement du foot), comment, historiquement, la préoccupation principale du commentaire a été de tendre vers la concomitance la plus proche possible avec l'événement décrit, notamment par des moyens linguistiques. Cependant, cette quête, poussée à l'extrême, apparaît souvent contradictoire avec la dimension narrative nécessaire au succès populaire des manifestations sportives.

 

Mardi 7 novembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Les indices prosodiques et mimique-gestuels comme marqueurs des opérations énonciatives

Elena Vladimirska, université de Lettonie

Dans la présente communication, nous proposons une étude des unités lexicales françaises - notamment, des marqueurs dits ‘d’approximation’ une sorte de, une espèce de, un genre de, et des indéfinis n’importe qui et n’importe quoi - dans une approche pluridimensionnelle qui s’intéresse à la variation sémantique de ces unités manifestée à travers leur réalisation prosodique et mimique-gestuelle (Vladimirska & Turlā, 2022, Vladimirska, 2023 à par.) Notre étude tire sa source d’inspiration de la notion de geste mental à laquelle Antoine Culioli (2011, 2018) a eu recours pour évoquer l’idée d’une activité interne sensorimotrice à laquelle on n’a pas accès, liée à la mobilisation de représentations mentales, également inaccessibles telles quelles. L’analyse des indices mimiques-gestuels qui relèvent de l’observable contribue ainsi à concevoir l’activité de langage comme une activité corporelle dans laquelle les opérations énonciatives sont marquées non seulement par des formes verbales agencées, mais aussi par les gestes des mains et la direction du regard du locuteur. Nous nous focalisons en particulier sur le rôle des indices prosodiques et mimiques-gestuels dans l’organisation de la scène énonciative (Paillard, 2009, 2011,2017). Dans l’interprétation des données nous nous référons également à la théorie énonciative de l’intonation (Morel&Danon-Boileau, 1998) étendue à la théorie des valeurs énonciatives du regard et des gestes des mains (Morel, 2010, Morel&Vladimirska, 2014). Dans l’intention de travailler sur un langage « non momifié » qui « nous révèle ce qu’est l’activité de langage » (Culioli, 2018 : 74), nous nous sommes appuyés sur les données du corpus oral, constitué à partir de la base de données audiovisuelles © YOUGLISH. Les tracés mélodiques, qui visualisent le mouvement du fondamental (la mélodie), les variations de l’intensité et de la durée, sont obtenus grâce au logiciel de traitement du son Speech Analyzer[1]. Les images sont traitées avec l’utilisation du logiciel d'annotation de fichiers multimédias ELAN[2]. L’analyse du corpus motre, en effet, qu’en dépit des spécificités individuelles qui affectent incontestablement les réalisations prosodiques et gestuelles des unités linguistiques en questions, on peut néanmoins observer une part de l’invariant qui relève, selon nous, des variations sémantique et énonciatives de ces unités.

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[1] SIL Language Technology

[2] ELAN (Version 6.2) [Computer software]. (2021). Nijmegen: Max Planck Institute for Psycholinguistics. Retrieved from https://archive.mpi.nl/tla/elan

 

Jeudi 9 novembre 2023, 10h 00 – 12h 00, salle des séminaires R 03 MSH

 La notion de théorie en linguistique : linguistique théorique et théories linguistiques

Philippe Monneret, Sorbonne Université

La diversité des approches contemporaines des phénomènes linguistiques requiert l'élaboration d'une perspective générale en linguistique, qui ne se préoccupe pas seulement de généralisations à partir de descriptions de langues, mais qui prenne également en charge la relation entre les apports de la linguistique générale, descriptive ou typologique et les apports des autres disciplines qui prennent le langage ou les langues comme objets d'étude : philosophie du langage, linguistique informatique, sciences cognitives, etc. C'est cette perspective générale qu'une « linguistique théorique » vise à prendre en charge. Par conséquent, une linguistique théorique conçue de cette façon ne se limite pas à une approche critique des théories linguistiques. Cependant, la question de ce qui est impliqué dans l'usage du concept de « théorie » en sciences du langage fait partie de son programme et elle devra être en mesure d'expliquer notamment pourquoi le terme « théorie » n'a pas le même sens dans l'expression « héorie chomskyenne » que dans l'expression « théorie de l'article » par exemple, ou encore pourquoi on ne rencontre presque jamais l'expression « théorie benvenistienne » seule (mais seulement « théorie benvenistienne de l'écriture », « théorie benvenistienne du performatif », etc.) mais très souvent « théorie guillaumienne », « théorie chomskyenne », « théorie saussurienne », etc. Le propos consistera donc d’une part à tenter de clarifier l'usage de la notion de théorie en linguistique et d’autre part de définir le champ d'une linguistique théorique au sens d'une linguistique généraliste.

 

Mardi 14 novembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Passation de consignes et gestion de classe : l’empan pédagogique des gestes sur les mots

Isabelle Monin, université de Bourgogne, & Damien Deias, université de Lorraine

Les gestes professionnels des enseignants, au sens figuré (Bucheton & Soulé, 2009) comme au sens propre (Duvillard, 2017) constituent des faits communicationnels permettant de conduire les objectifs didactiques et pédagogiques de la classe, faire circuler la parole des élèves, accueillir leurs doutes et difficultés, et canaliser d’éventuels comportements perturbateurs. Lors de cette présentation, nous analyserons les « gestes et micro-gestes de l’enseignant » pour (se) mettre en scène et (s’)observer : la posture gestuée, la voix, le regard, l’usage du mot et le positionnement tactique constituent autant de données à prendre en considération que les phrases prononcées. 

                En prenant appui sur les théories qui encadrent gestes et micro-gestes professionnels au sein de la situation de communication particulière de la classe, nous en analyserons les pratiques à l’aide de séquences filmées. Nous focaliserons alors  notre étude sur la manière dont les enseignants gèrent le maintien de l’attention et conduisent leur classe dans la réalisation d’objectifs pédagogiques. Il s’agira d'observer quels sont les gestes et postures facilitatrices de communication :  celles qui favorisent une certaine fluidité, sources d’écoute et de compréhension, et celles qui, au contraire, génèrent incompréhensions, malentendus, ou constituent des freins à l'objectif pédagogique de la séance.

 

Mardi 28 novembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

  « - Oui ? fit-il en parvenant à faire sonner cette unique syllabe positive comme un rejet total »

Chantal Rittaud-Hutinet, université Sorbonne Nouvelle-Paris 3

Les discours en interactions orales non préparées se caractérisent dans de très nombreux moments par la présence d’une dimension personnelle, l’énonciation spontanée étant rarement neutre ou strictement informative et objective, mais infusée de nos appréciations, de notre caractère et de notre subjectivité – goûts et dégoûts, croyances et doutes, humeurs et états d’âme, sentiments et ressentiments, opinions et jugements.

Et ce que nous disons de ce que nous disons, nous désirons souvent le transmettre de façon implicite. C’est alors que nous utilisons des intonations expressives, lesquelles se manifestent au travers de signes vocaux, qui sont des signes linguistiques au même titre que les mots.

D’une grande richesse et d’une grande variété, ces signes sont au cœur de l’acte perlocutoire : ils savent entre autres gauchir le sens dénoté des mots de l’énoncé, le renforcer, le contester, l’infirmer, en réduire la portée, ménager sa face et/ou celle de l’allocutaire.

Comme nous le verrons avec quelques exemples, les orateurs – hommes politiques, avocats – savent depuis toujours les caractériser à leur façon. Mais en ce début du XXIe siècle l’analyse scientifique systématique de la prosodie expressive n’en est qu’à ses débuts.

Après une description des dimensions linguistiques de l’intonation – syntaxique, sémantique – et une (re)définition rapide de la prosodie signifiante, seront examinées les moteurs de l’usage de l’intonation expressive, avec ses avantages et ses inconvénients potentiels.

Puis nous observerons les principaux procédés que découvrent et exploitent les romanciers pour écrire cet aspect de la multimodalité, avant de revenir aux échanges oraux, tout d’abord avec les mots « pauvres », puis avec quelques cas de tactiques interlocutives.

Si le temps imparti le permet, nous aborderons les questions relatives aux fonctions, au fonctionnement, aux significations des signes vocaux, ainsi qu’au processus de la recherche phonopragmatique.

 

Mardi 5 décembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

Retour sur un débat à distance entre Guillaume et Benveniste : personne, langue et discours

Olivier Soutet, Sorbonne Université

Centrale au plan anthropologique dans la mise en œuvre du mécanisme énonciatif (plan du langage-phénomène), la personne s’instancie massivement dans la grammaire des langues (plan du langage institutionnel) à travers des formes diverses de systématique, éminemment variables d’un idiome à l’autre : morphologique, morphosémantique et morphosyntaxique. Guillaume aimait à dire que la personne était, saillante ou latente, présente dans toutes les parties de discours, à l’exception, disait-il, de la préposition - mais sans en être sûr, ajoutait-il. D’un autre côté, cependant, la description grammaticale fait droit à des notions comme celles d’impersonnel ou, plus radicale encore, de non-personne (Benveniste). Comment concilier cette double approche ? Faut-il y voir le résultat d’un flou terminologique ou le signe de modalités de présence variables de la personne ? Ces questions seront abordées, sans visée de traitement exhaustif, à partir de faits observables dans le microsystème du verbe français.

 

Mardi 12 décembre 2023, 15h 00 – 17h 00, amphithéâtre MSH

L'intercommunication en crise : la question de la compréhension

Éric Castagne, université de Reims Champagne-Ardenne

Depuis au moins la seconde guerre mondiale, on ne cesse d’entendre que la ou les guerres ont été et sont des opportunités pour accélérer le progrès, l’expansion de la mondialisation et de la démocratie, et que les êtres humains n’ont jamais autant communiqué dans toute l’histoire de l’humanité. D’un côté, nous aurions résolu l’obstacle de la distance interlinguistique babylonienne grâce à l’instauration de la langue anglaise en tant que langue de communication internationale par excellence. D’un autre côté, nous aurions résolu l’obstacle de la distance géographique grâce à diverses techniques de communication (réseaux numériques terrestres, sous-marins et satellites, fibre optiques, 5G, smartphones, Internet, etc. pour les technologies les plus récentes). Grâce à la résolution de ces deux obstacles majeurs, l’intercommunication humaine triompherait sur l’ensemble du globe terrestre et même jusque dans l’espace. Pourtant il est un fait incontestable pour peu qu’on échappe au biais d’exposition auquel on est soumis quotidiennement et pour peu qu’on observe finement la communication interhumaine : « l'incompréhension demeure générale. » (Edgard Morin, 1999). L’objectif principal de ma communication consistera à montrer que, contrairement aux apparences, il n’existe pas dans les faits de stratégie d’intercommunication unique, anglaise ou autre, qui pourrait répondre à l’ensemble des besoins créés par les multiples rencontres et situations internationales, et que, contrairement aux apparences, l’incompréhension linguistique n’a cessé de progresser dans le cadre de la mondialisation en expansion.

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